Dragon – Cycle de vie

Les dragons font partis des sept fléaux de l’humanité, et en tant que tel, il est extrêmement dangereux de les approcher. Mortels, mobiles, et d’une nature profondément méfiante et vengeresse, il a toujours été difficile pour les humains des les étudier.

Ce document ne correspond qu’à une version simplifiée et raccourcis de la Drake Querrea Siniil, le plus important recueil d’information sur les dragons rédigé à ce jour. Ce livre est considéré comme beaucoup de Chasseurs comme un livre de chevet, tant ils passent des heures à l’étudier pendant leurs classes.

La plupart des informations présentées ont été récupéré dans les Rorëws grâce aux Chasseurs et à de nombreux chercheurs qui ont risqué (et souvent perdu) leur vie. Les données abordées ici sont donc valable pour les dragons des hautes montagnes au nord du continent, et ne font pas forcément lois pour toutes les espèces de dragons du monde.

Dans cet extrait, nous étudierons essentiellement les aspects comportementaux et le cycle de vie des dragons des Rorëw. Pour en savoir plus sur la psychologie des dragon, ou sur leur langue, n’hésitez pas a consulter les articles annexes (A venir).

 

Reproduction et création du nid

Les dragons ont un mode de reproduction cyclique, sur une période de trois ans minimum. En effet, la femelle doit consommer énormément d’énergie pour procréer, et il lui faut généralement cette durée pour que son corps soit à nouveau prêt à la reproduction. C’est également la durée maximale que mettent les petits à devenir parfaitement autonome, et à quitter le nid familiale.

Lorsqu’un couple souhaite avoir une portée, ils cherchent un espace facile a protéger aussi bien des nuisibles que de la température (généralement une caverne ou une large ruine). La dragonne va également manger beaucoup plus, pour pratiquement doubler son poids de départ.

Il a été observer deux mode d’accouplement chez les dragons: une au sol et un en plein vole.

l’accouplement en l’air est l’une des plus impressionnante a observer. Le couple monte le plus haut possible dans les air ( a la limite de la portance de leur ailes) avant de se regrouper et de s’agripper face a face, en se maintenant unis de leurs ailes. S’ensuit alors la chute libre sur plusieurs centaines de mètres durant l’acte est accomplis, avant une séparation a l’extrême limite de la prudence. L’action est répété autant de fois que nécessaire. Il semble assez rare qu’un accident ne se produisent lors d’un accouplement aérien, même si certain couple se sont purement et simplement écraser sur le sol plus d’une fois.

L’accouplement au sol est généralement plus sûr et plus long que l’autre option, et est assez similaire a la saillie des autres quadrupède, même s’il a été constater plusieurs autres position.

L’usage de telle ou telle position ne semble avoir pour seul règles que les affinité de chacun.

L’accouplement est généralement très rapide ( quelques minutes seulement), avec un taux de fertilité très important lors de l’ovulation de la femelle. Une fois la fécondation avérée, la dragonne passe plusieurs jours à créer une couchette surélevée du sol pour isoler les futures œufs du froid du sol, en entassant roches, bois et feuilles, voir tissus si elle est capable d’en trouver à proximité. Une fois la couche prête, la dragonne ne quittera plus l’abri, jusqu’à l’éclosion.

 

Comportements du mâle durant la gestation

Le mâle deviendra alors l’unique source de nourriture pour la dragonne, et ce dernier passera pratiquement la moitié de son temps à chasser pour lui et sa compagne. L’autre moitié de ce temps sera accordé à la surveillance des alentours. Un dragon protégeant sa portés gagne en agressivité, et chassera de son territoire toute forme de prédateurs (loup, ours, humain, dragons, etc.) Pour correctement accomplir sa tâche, les sens du mâle deviennent plus sensibles, et ses besoins sont largement diminué. Il mangera moins, dormira moins, et pourra passer plus de temps en vol qu’en période normal. On peut facilement remarquer la présence d’un nid par le mâle qui vole en cercle concentrique autour de sa portée a longueurs de journée. Plusieurs fois par jour, le dragon rentre au nid pour s’assurer de l’état de son couple, et lorsqu’il doit dormir, le mâle s’installe à l’extérieur de sa tanière pour couvrir l’entrée. Le moindre bruit réveillera le dragon, ce qui le rend pratiquement impossible à prendre par surprise durant toute la gestation.

Pour illustrer la férocité et la fureur d’un dragon protégeant son nid, on peut citer l’incident de Penbois, où un dragon à massacré pratiquement toute la ville sur cinq jours, car sa compagne et lui s’était installés dans une vallée proche des Montagnes Bleu. Il fallut attendre l’arrivée de la Guilde de Chasse pour permettre aux survivants de quitter leurs caves.

 

L’œuf et l’éclosion du dragonnet

Les dragons ont un mode de gestation unique dans le monde de Laëlio: pendant les six premiers mois, la dragonne porte ses petits comme n’importe quel mammifère, mais rapidement les fœtus deviennent trop imposants, ce qui force une expulsion prématuré des petits. Or, a six mois, il est impossible pour le fœtus de survivre, n’ayant pas encore développé l’ensemble de ses organes vitaux. Les petits sont donc enveloppés d’un œuf, qui leur permettra de finir leur croissance en sécurité.

La coquille de l’œuf n’est pas simplement une couche de calcaire comme pour les autres ovipares, mais bien un organe à part du dragonnet: La coquille puisse dans les ressources de l’œuf pour grandir avec le jeune dragon. La croissance de la coquille est expliqué par la présence de cellules qui produisent du calcaire à partir des nutriments présent dans l’œuf, agrandissant la coquille et la renforçant constamment, jusqu’à épuisement des nutriments. Cette croissance accompagne donc celle du petit, et durcis également la couche protectrice.

Pendant toute la période d’incubation, la dragonne va constamment couver les œufs pour les maintenir à bonne température, en les retournant très régulièrement pour s’assurer de la bonne homogénéité thermique.

Après trois mois passé dans l’œuf, la coquille est considéré comme morte, c’est à dire qu’elle ne grandira plus. Mais le petit continuera d’évoluer pendant encore six mois de plus, avant d’être prêt à quitter son abris. Pour quitter l’œuf, le dragonnet se servira d’un corne de lait s’étant développée sur le sommet de son museau pour perforer la couche solide, avant d’user de ses griffes pour agrandir l’ouverture. Il est a noter que les parents laisseront généralement leurs petit se débrouiller avec leur coquilles, ne les aidant qu’en cas d’extrême besoin (comme s’asphyxie). Ainsi l’éclosion peu prendre parfois plusieurs heures jusqu’à ce que le petit soit capable de s’extraire de sa prison natale.

 

Premier pas, et premières expériences

Lors de l’éclosion, les dragonnets sont généralement grands de trente centimètres de long hors queue et cou (environs cinquante total) pour vingt de haut au garrot. Les ailes, déjà développées sont larges de cinquante centimètres, même si le jeune dragon ne pourra pas les déployer avant longtemps. Le poids d’un petit varie entre deux et six kilogrammes.

A la naissance, les dragonnets mâles cherchent presque immédiatement à s’affronter entre eux, parfois avec violence. Ce combat déterminera le Chef de Couvée, qui disposera alors d’une autorité sur les autres petits, notamment lorsque la mère devra s’absenter par la suite. Cette affrontement n’est que rarement fatal, mais il est à noter que certains petits ont tous de même fini par être atrophié.

Le Mâle prend en charge l’alimentation des petits et de la mère en ramenant de façon très régulière des  proies. Le mâle se charge également de l’évacuation de l’ensemble des déchets (Restes de carcasses, déjection, etc) afin d’éviter tout risque d’infection.

Après quelques jours, les cornes de laits sur les museaux tombent, et les dragonnets commencent à explorer l’environnement proche, sous les yeux de leur mère. Mais les sorties ne sont pas encore possible en extérieur, à cause de la finesse des écailles des jeunes dragons.

Vers un an, les jeunes dragons commencent à sortir de la caverne, toujours surveillés par leur père et leur mère. A ce moment, les dragonnets font la taille de gros chiens, et ne peuvent pas encore voler, ni même déployer leur ailes. C’est la période des premières chasses pour les petits: Les dragons savent naturellement chasser, mais c’est généralement le père qui formalise cette éducation, pour leur permettre de devenir les meilleurs chasseurs du monde, en leur apprenant à reconnaître les proies, et à éviter les dangers.

A deux ans, les muscles des ailes commencent à prendre forme, et la raideurs dans ces membres disparaît. Les premiers vols se font à ce moment, toujours sous la surveillance du père, et l’instruction de la mère. Les décollages se faisant depuis le sol chez les dragons rendent l’exercice pratiquement sans danger pour les petit.

Passé cette étape, les dragonnets commencent à explorer le territoire de leurs parents, et à s’alimenter seuls.

 

Le départ et l’exploration

A deux ans et demi, le père chasse les petits mâles du nids familiale: A ce moment la portée se sépare. S’il est difficile de savoir ce qu’il advient des jeunes dragons, il semble assez certain qu’ils entament un vaste périple dans le monde. Le but de ce voyage sera multiple, mais c’est généralement durant cette période de leur vie que le jeune dragon rencontre sa compagne, et trouve un territoire pour y vivre.

Les jeunes dragonnelles restent quand à elles jusqu’à trois ans, où la mère les chasse lorsque les premières flammes font leurs apparitions. La raisons de ce délais supplémentaire est assez complexe à comprendre, mais il est supposé que le père privilégie le départ des petits avant qu’ils ne deviennent trop fort pour lui, et ainsi pouvoir revendiquer son territoire.

Les jeune dragonnes partent à leur tour en voyage, mais généralement bien moins loin que leurs frères. Ainsi, elle rencontrerons généralement des mâles provenant de régions bien plus éloigné, favorisant la mixité génétique. Une fois en couple, le cycle recommence pour une génération.

Il est a noter qu’il n’as pas été possible de déterminer sur une dragonne âgée rencontrait un phénomène similaire a la ménopause, et il semble qu’elle soit capable de se reproduire sans limitation, tant que sa santé et la présence d’aliment en quantité ne soit.

 

 

Une croissance sans limite

Un dragon grandira toute sa vie. Si à l’âge de trois ans, il atteint facilement la taille d’une chaumière, plus les siècles passeront, et plus il sera massif. La croissance d’un dragon adulte est certes très lente, mais on peut parler d’un bon mètre de taille par siècle passé les clinquantes premières années.

A titre d’exemple, évoquons le cas de Thélèk,  surnommé le dragon-monde car étant le dragon le plus vieux, faisait la taille supposée d’une cathédrale.

La durée de vie des dragons est très variable: un dragon pourrait facilement vivre plusieurs siècles, mais rares sont les dragons ayant dépassé les deux milles ans de vie. Le corps des dragons n’ont pas de dégénérescences cellulaires, comme celui des humains. Leur espérance de vie est donc théoriquement infinie, même si les dragon ayant dépassé les milles ans de vie sont extrêmement rare, notamment à cause du poids d’un corps si massif, les empêchant alors de voler, et donc de s’alimenter.

 

La suite de l’étude portera sur l’aspect psychologique des dragons, et leur différents modèle de sociétés (A venir).

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